Eplucher des poivrons (grillés au four)

Je vous ai donné la méthode pour “griller” des poivrons au four micro-ondes, voici la méthode au four traditionnel.

On pourra la faire tout d’abord si on a un four et d’autre part pendant les saisons où les températures extérieures sont fraîches. Car comme je le disais dans l’autre billet, allumer le four quand il fait 35°, c’est dur.

Ici encore on pourrait dire qu’il y a 2 méthodes.

On met le four en marche sur position GRILL et on pose les poivrons dessous en les surveillant et en les retournant chaque fois qu’ils prennent une couleur fonçée. Ce qui demande une attention toute particulière et de devoir rester devant le four l’oeil vif.

Pour ma part, quand je dois surveiller quelque chose, genre beurre dans la poêle, c’est toujours là que cela crame. Je ne sais pas

pourquoi ?? Je ne dois pas avoir l’oeil assez vif…

Donc je choisis d’allumer le four à 200°, de laver mes poivrons et de les poser sur une plaque pendant 15 minutes.

Puis je les retourne et les laisse encore 10 minutes.

On peut choisir de les mettre dans un sac plastique pour les laisser refroidir, mais j’ai remarqué que cela marche aussi sans le plastique.

Puis on les épluche avec un couteau pointu en tirant sur la peau avec la pointe du couteau.

Il n’y a plus qu’à les accommoder selon la recette choisie.

Facile non ?

Donner un bouillon…

Lorsque l’on prépare un plat, notamment de viande en sauce, on utilise souvent du vin.

C’est le cas de la daube, du boeuf bourguignon ou autre bon plat du terroir.

On voit souvent dans les explications de la recette le terme “donner un bouillon” .

Il s’agit de faire bouillir pendant 2 ou 3 min pour faire évaporer l’alcool du vin.

Si on utilise un alcool fort comme le cognac ou l’armagnac, on le fait flamber, mais dans le cas du vin, c’est un peu plus difficile.

Cuisinez, régalez-vous !

La poche à douilles : tout un art

Pendant des années, j’ai refusé de me servir de ce truc horrible, qui débordait de partout, qui faisait des formes horribles et qui en plus était pénible à nettoyer.

Un jour, j’ai donc acheté une boule en plastique que certains d’entre vous reconnaîtront, en pensant que tous mes problèmes de douilles étaient résolus. Que né ni ! Il restait plein de préparation dans la douille et en plus, elle est d’une taille ridicule, donc 4 choux à la fois (là, j’exagère un peu).

Puis, mon amie Françoise qui est présentatrice chez Demarle m’a proposé de me donner un cours.

Pfff ! Va encore falloir laver le truc gras pendant des heures, cela va abîmer mon vernis.

Bon, d’accord, je n’ai pas voulu la décevoir.

Et bien là, d’un coup, tout m’est apparu incroyablement facile. Enfin, presque, mais avec un peu d’entraînement aujourd’hui, c’est devenu un jeu d’enfant (là, je frime).

Sans rire, je n’ai plus peur de me lancer dans la décoration des cupcakes, le remplissage des verrines, la confection des choux, ou même de la pièce montée pour 120 personnes (là, je mens).

Bon, alors ? Un petit cours, ça vous dit ?

Tout d’abord, prendre un grand récipient, ici un mug géant.

Plier le bout où se trouve la douille de façon à fermer la poche et la poser dans le mug (la douille est au fond du mug).

La remplir à l’aide d’une maryse.

La sortir et à l’aide d’une corne, pousser la préparation vers la douille.

Enrouler l’extrémité de la poche autour du pouce, maintenir le tout avec l’autre main.

C’est la main qui a le pouce enroulé qui pousse la préparation, l’autre ne fait que diriger le contenu sur la plaque à pâtisserie ou dans les moules.

Racler encore avec la corne pour faire descendre la préparation.

Continuer jusqu’à épuisement du contenu.

Essayez et persistez !

Bientôt, vous verrez les choux.